• Hey ! Alors ce réveillon ? Vous l'avez fêté en famille ? Moi c'était le cas et c'était vraiment top ! C'était la première fois qu'on était les hôtes dans notre nouvelle maison alors c'était spécial. Y'a eu une petite pause dansante assez drôle : lumières, musiques des années 80 et un oncle qui nous apprend des pas de danses = une ambiance familiale hors norme ! J'ai adoré x) 

    joyeux noël !!  joyeux noël !!  joyeux noël !!

    Sinon niveau cadeaux vous avez été gâtés ? Si vous voulez savoir j'ai reçu des sous, un bracelet et des boucles d'oreilles (je n'ai pas les oreilles percées mais je compte bien le faire en 2019, cela fait partie de mes objectifs/résolutions de la nouvelle année), un polo WWF, des vans old skool, des chocolats, une enceinte JBL GO et une bougie ^^ Je suis grave contente ! 

    Je sais que j'ai de la chance d'avoir autant de choses à noël et même de pouvoir simplement fêter noël en fait... Alors, soyons contents de ce qu'on a ! 

    Bonne fin d'année à tous ! 


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  • les fourmis de Bernard WerberSalut tout le monde, ça fait super longtemps que je n'ai pas fait d'article Discover et encore moins dans la catégorie Livres. Pourtant, j'ai repris la lecture depuis septembre et j'ai découvert une série de livres absolument géniale ! Je voulais donc à tout prix vous partager mon avis sur le premier tome (puis les suivants lorsque je les aurais terminés). Les fourmis est une série de trois ouvrages écrits par Bernard Werber. Comme le titre l'indique, cela parle... de fourmis. Dis comme ça ce n'est pas ouf mais je vous jure, c'est du génie ! Mais je vous en dirai d'avantage dans la suite de l'article. Commençons comme à chaque fois par le résumé du livre. 

    Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices.
    Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces «infraterrestres», au fil d'un thriller unique en son genre, où le suspense et l'horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses. Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des... fourmis !

    Mon avis 

    Je vous recommande de lire ce livre pour plusieurs raisons. Tout d'abord car il est remplis de plusieurs facts à propos des fourmis et de leur organisation. Pour votre culture générale ça va vous donner un sacré coup de boost ! Ensuite, il y a un aspect philosophique permanent durant la lecture qui vous permet de vous interroger sur le fonctionnement de votre vie et du monde, personnellement ça m'a retourné le cerveau. J'ai réalisé certains concepts de la vie en lisant le premier tome. Ensuite, l'intrigue... je n'ai jamais était autant à fond dans un livre de ma vie, peut-être parce que je n'en ai pas lu tant que ça mais là c'était réellement différent. J'avais l'impression de regarder une série au fil des pages, j'avais à chaque fois la forte impatience de connaître la suite, ce qui fait que je lisais à longueur de journée. À la bibliothèque, à l'arrêt de bus... bref tout le temps. Qui l'aurait cru ? J'ai fini par m'attacher aux personnages fourmis !


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  • Par la suite, je pu faire la rencontre de son père Franck. Il était fort sympathique, toujours en train de faire des blagues. Sur ses genoux était installée Lavande, la sœur jumelle d’Ediorn. Elle lui ressemblait beaucoup. Elle avait son regard, ses sourcils épais et foncés et ses yeux bleu. Cependant, je constatai qu’elle portait une robe d’enfant, ses cheveux blonds étaient tressés sur le côté et elle tenait dans ses bras un petit chaton blanc avec une tâche rousse sur le museau. On lui donnerait l’âge de 8 ans en la voyant comme ça. Pourtant aujourd’hui elle fête ses 17 ans, tout comme mon copain. Vers midi, nous nous installâmes autour d’une table pour célébrer l'anniversaire. La salle à manger n’était pas très spacieuse alors les parents nous ont laissés entre-nous.  Autour du gâteau étaient présents toutes les personnes que j’aimais : Eldiorn, Hélia, Déméthys... nous n’étions pas beaucoup. Lavande était partie avec les parents. Plus tard dans l’après-midi, après que les cadeaux furent offerts, mon copain me fit visiter sa petite maison. Les murs étaient rongés par l’humidité et le manque d’isolation. Le sol grinçait beaucoup. Sa chambre se trouvait tout au bout du couloir. Elle était petite elle aussi mais me rappelait la mienne. Le lit n’était pas fait, le bureau était recouvert de carnets et de papiers et sur les murs étaient accrochés ses multiples skates. Seule une petite fenêtre éclairait la pièce. J'aimais cette pénombre. C’était l’occasion pour moi et lui confier ce qu’il se passait dans ma vie ! Je suis fatiguée de lui cacher l’existence de mes visions et de mes rêves étranges. Cela fait déjà un mois qu’on est ensemble, il a le droit de savoir... 

    — Eldiorn il faut que je te dise quelque chose... en fait, c’est assez important.  

    — Quoi ? Me demanda-t-il inquiet.  

    — T’inquiète, ce n’est rien de grave mais...  

    Quelqu’un ouvrit la porte de la chambre. Je lâchai un long soupir. Je fus interrompue en plein élan. Lavande pénétra timidement dans la chambre de son frère. Elle me fixait... 

    — Oui Lavande ? L’interrogea Eldiorn.  

    — Je suis perdue... murmura-t-elle, le regard toujours tourné vers moi.  

    Cette fille me fait flipper. Elle est malade ou quoi... Mince, j’avais oublié ! Eldiorn m’avait parlé de tout ça. Lavande avait des problèmes mentaux depuis le divorce de leurs parents...  

    — Lavande, tu n’es pas perdue d’accord ? Tu es à la maison, tout va bien. Lui dit calmement son frère, les mains sur ses épaules.  

    Il se retourna vers moi comme pour s’excuser et accompagna sa sœur dans le salon, me laissant seule dans la chambre. En partant, je l’entendis encore murmurer “Je suis perdue”. Je décidai de rejoindre les autres invités. Je me confirais plus tard. Mes amies étaient dans la cuisine, en train d’aider les parents d’Eldiorn à débarrasser la table. Lorsque je pénétrai dans la pièce, Hélia me regarda d’un air malicieux. Elle vint me rejoindre dans l’embrasure de la porte.  

    — Alors comme ça tu t’éclipses avec ton copain dans sa chambre ? Tu sais, si tu veux qu’on vous laisse roucouler on peut partir ! Me dit-elle en ricanant pour me taquiner.  

    — Chut ! Ses parents sont juste à côté de nous ! Répondis-je en rigolant moi aussi.  

    Soudainement, Sheila passa sa tête au-dessus de mon épaule. Elle m’enroula de ses bras mais je ne comprenais pas pourquoi.  

    — Attend ne bouge pas Ulysse... me dit-elle. J’essaie juste.... Voilà ! Retourne-toi... oh il te va à ravir ! S'écriai-t-elle. 

    Je regardai autour de mon cou. Un second collier accompagnait à présent mon pendentif en forme de plume.  

    — Oh Madame c’est magnifique ! Vous n’étiez pas obligée, c’est l’anniversaire de votre fils pas le mien...  

    — Cela me fait plaisir, et puis c’était l’idée d’Eldiorn. Me dit-elle en pointant mon copain du doigt, le sourire aux lèvres. Il trouvait que ce bijou te représentait bien, alors que j’ai décidé de t’en faire cadeau !  

    Le collier avait une chaîne très courte plaquée or et ornée de multiples minuscules perles nacrées. À son extrémité se trouvait une perle plate plus imposante et translucide dans laquelle était piégée une petite rose dorée. Il était magnifique !  


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  • yo ho ho ! Ca fait longtemps n'est ce pas ? J'avoue que je me suis légèrement éparpillée depuis le dernier article 'racontage de life'... Ca fait d'ailleurs deux mois que je ne n'en ai pas fait. Du coup... par quoi commencer ? 

    je ne suis pas morte don't worry je ne suis pas morte don't worry

    • Études - Je vous rassure, je ne suis pas là pour vous dire que j'étais submergée par le travail, loin de là... Au contraire, je ne fou RIEN x) mais j'ai de 'bon' résultats (moyenne de 12,5) en ne faisant pas grand chose. Seulement, avant les vacances d'octobre j'ai eu la masse de contrôle et là je rentre en période de partiels. Tout ça me fait particulièrement stresser...

    • Productivité - J'ai encore un art-block... décidément c'est récurrent maintenant ! Je sais pas comment faire pour me remettre à dessiner et à m'améliorer... peut-être qu'avez les trois semaine de vacances je pourrais me remotiver. Concernant le livre 'Les incantations d'Ulysse', j'avance bien. Je suis pas mal inspirée et je bosse dessus (en secret haha vous ne savez pas tout) donc ne vous inquiétez pas, même si je ne sors pas énormément d'extraits chaque mois, je suis tout de même particulièrement active sur ce projet. 

    • social - rien a dire mdr, en soit tout va bien ! 

    VOILAA, bon je sais, ce post est assez nul mais bon, je me dis que c'est tout de même cool que je mate à jour cette catégorie d'articles de temps en temp ! 


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  • Je débarquai dans une gigantesque salle de marbre, ornée de gravures dorées. En son centre trônait une femme immense. Elle devait bien faire 30 mètres de haut. C’était la déesse Esmée, je ressentais quelque chose de familier avec elle. Sa seule présence réussit à me paralyser d’admiration. Autour d’elle flottait d’immenses papillons nébuleux, laissant trainer derrière eux un voile de poussière. Ils se posaient sur ses épaules ou dans le creux de ses mains. C’était les âmes déchues.  

    Je me réveillai brusquement, dérangée par mon réveil qui produisait un bruit assourdissant. Cela fait des semaines que je n’arrive pas à fermer l’œil de la nuit. Je refais de l’insomnie. Aujourd’hui, je dois aller chez Eldiorn pour fêter son anniversaire. Je lui ai acheté un nouveau bonnet brodé de nos initiales en guise de cadeau. Hélia et Déméthys seront là elles aussi. Mon copain tenait à les rencontrer. Je me levai difficilement de mon lit. Je n’ai plus de forces, mon corps commence déjà à puiser dans ses ultimes ressources. Je dévale les escaliers, mon ours en peluche toujours dans la main. J’essaie de manger le plus possible pour reprendre un maximum de forces. Maman a préparé une grande table recouverte de paniers garnis de viennoiseries, de toasts et de pain. Je saisis une brioche et un petit pain que je m’empresse de recouvrir de confiture et de beurre de cacahuète. Je me prend également un verre de jus de raisin. Matty arrive, les cheveux ébouriffés.  

    — Câlin... Gémit-il en me regardant avec une tête chien battu.  

    Je me levai de ma chaise et le saisit dans mes bras. Je le serrai fort dans mes bras. Maman ne put s’empêcher de lâcher un commentaire de type “oh qu’ils sont mignons !”...  

    — Ulysse, tu veux que je t’accompagne chez ton copain ? Me demande Maman.  

    — Non ça ira ! J’y vais en vélo, je dois partir à... Mince ! Je suis déjà en retard !  

    Je dévale à toute vitesse dans le hall d’entrée, ma brioche encore dans la bouche. J’enfile difficilement mes chaussures et brandis ma doudoune rouge brique. Dehors, il fait atrocement froid. Heureusement qu’Eldiorn ne vit qu’à quelques rues d’ici... Je pédale aussi vite que je peux. Au dernier tournant de la rue perpendiculaire à la mienne je manquai de me prendre un réverbère en pleine face... Je suis un vrai danger public sur ce vélo ! Je parviens tout de même saine et sauve au numéro 419. La bâtisse est gigantesque ! Je m’avance vers le portillon à la recherche d’une sonnette sur laquelle appuyer...  

    — Eh qu’est-ce que tu fais ! Cria quelqu’un à ma droite.  

    Je sursautai, manquant de faire tomber mon vélo. Eldiorn se tenait sur le porche d’une autre maison. Bizarre...  

    — Tu t’es trompée ! Me dit-il en ricanant. Comme tous les autres... J’habite au 419 BIS, ce n’est pas précisé sur les insignes alors... 

    Sa maison n’avait rien à voir avec celle de ses voisins. Elle était plus petite, délabrée et semblait être dépourvue d’étage. Le jardin est en piteux état et le portillon ne se fermait pas correctement. Le contraste est flagrant. J'essaie de cacher mon étonnement mais il comprit dans mon regard ce que je pensais à son égard.  

    — Tu es déçue c’est ça ? Demanda-t-il gêné.  

    — Non... c’est juste que... je suis surprise. Murmurai-je. Je ne savais pas quoi lui dire.  

    — Aller viens ! On rentre, je suis sûre que les bons petits plats que j’ai préparés te remonteront le moral ! Me dit-il en prenant le guidon de mon vélo.  

    Nous pénétrons dans sa maison où la fête a déjà commencé. Hélia et Déméthys se précipitent vers nous. Elles m’enlacent à tour de rôle et repartent dans le salon. Il y a de la musique et la pièce semble remplie. Eldiorn me prend la main et m’accompagne au bout du couloir. Sa belle-mère surgit de la cuisine, un grand plat dans les mains. Elle est petite, à la peau claire, les cheveux blonds virant au blanc avec l’âge. Ses yeux vert sapin sont surlignés d’un long trait d’eye-liner doré. Elle porte une blouse à fleur jaune et une salopette assortie à ses yeux. Sur la petite poche de devant est brodé un oiseau en plein envol. Elle dépose le plat sur la commode se trouvent à ses côtés pour venir me saluer.  

    — Ulysse ! Cela fait des semaines que je meurs d’envie de te rencontrer, je suis Sheila ! M’expliqua-t-elle en me frictionnant le dos lors de son étreinte. 


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